CÉAS de la Mayenne
29, rue de la Rouillère
53000 Laval
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La Mayenne, de long en large et à travers les siècles...

 

https://fresques.ina.fr/mayenne. Les Mayennais aux actualités régionales ou nationales

« La Mayenne au fond des yeux » : voilà une très intéressante initiative qui résulte d’un partenariat, lancé en novembre 2021, entre l’Institut national de l’audiovisuel (INA), le Conseil départemental (direction des Archives départementales) et la communauté de communes du Pays de Château-Gontier. Cette réalisation consiste en la mise en ligne, sur le site de l’INA, de courtes vidéos (d’environ 2 à 6 mn chacune) relatives à la Mayenne et issues des informations télévisées nationales ou régionales.

Les géographes au secours du département et de son identité...

Il est parfois de bon ton de considérer que le département de la Mayenne a un problème d'identité, et ce problème d'identité serait à la source de bien des maux, dont la surmortalité du suicide. Manifestement, des géographes comme René Musset, auteur d'une étude géographique sur le Bas-Maine publiée en 1917, ou Georges Macé, dont la thèse de doctorat d'État sur la Mayenne a été publiée en 1982, ne partagent pas ce point de vue du manque d'identité.

 

Quand la bande dessinée met en scène le local : des histoires mayennaises en albums (août 2023, 7 pages)

Force est de constater que les bédéphiles, en même temps passionnés par la Mayenne et son histoire, ne seront pas obligés d’acheter une grande bibliothèque pour classer leurs albums. Il en existe tout de même, très différents les uns des autres. Certains sont aujourd’hui difficiles à se procurer, d’autres toujours en librairie. Soulignons surtout l’activité bédéphile des Jeunes Chambres Économiques mayennaises (quatre albums à elles seules). Par contre, à quand un album sur l’histoire du département ? Voilà un nouveau chantier possible pour la Société d’archéologie et d’histoire de la Mayenne.

 

Une bien belle histoire d'amour, mais quel gâchis ! L'Orfèvre, de Michèle Andrieux (Librinova, 2020)

L’auteure, Michèle Andrieux, vit à Châtelain. Passionnée par l’histoire et s’inspirant de personnages réels, elle a autoédité en 2020 un premier roman, L’Orfèvre, avec Librinova (280 pages ; 16,90 euros).