Dans la statistique, il existe deux grands domaines d’application. D’une part, la statistique descriptive, où l’on prend en compte la totalité d’une population (au sens de la statistique : voir ci-dessous la définition) ; d’autre part la statistique inductive, où l’on s’intéresse à un sous-ensemble (un échantillon), censé être représentatif d’une population.
La rédaction d'un rapport d'enquête peut s'effectuer sous « Word », mais ce logiciel ne permet pas de réaliser des graphiques. On les réalisera sous « Excel », mais comment « rapatrier » le graphique dans son fichier « Word ». Cette notice vise à y parvenir...
Quand on réalise un rapport, on peut avoir à intégrer un graphique, mais aussi un tableau de données. Voici la procédure...
La réalisation d'un histogramme avec des classes d'amplitude inégale implique de corriger les effectifs (ou les fréquences) pour les ramener sur une base identique (1 par exemple). « Excel » ne permet pas aisément de produire un histogramme « académique », mais le guide ci-joint doit pouvoir en faciliter la réalisation.
Avec des variables quantitatives continues, on peut déterminer le mode en prenant le milieu de la classe modale, mais c'est approximatif. On peut recourir à une formule mathématique, mais on peut également l'obtenir à partir d'un histogramme.
L'histogramme empilé permet de comparer les évolutions sur plusieurs périodes à partir de chiffres absolus... L'histogramme empilé 100 % utilise les valeurs relatives.
Le polygone des fréquences cumulées permet de donner la valeur approximative des quantiles – par exemple, ici, le premier quartile, la médiane et le troisième quartile. En ordonnée, on part des quantiles souhaités. En abscisse, on accède en lecture directe à leur valeur approximative.
Quand on utilise les statistiques, il faut savoir de quoi on parle ! Saluons l’initiative de l’Insee qui a publié un document très pédagogique sur la mesure du chômage.