Andouillé

Andouillé, son église et ses verrières de femmes de la Bible

Le 13 juillet 2014, dans le cadre d’un programme estival proposé par la Pastorale des réalités du tourisme et des loisirs (diocèse de Laval), Daniel Fouqueray, en médiateur du patrimoine, s’est employé à faire découvrir les vitraux du chœur de l’église d’Andouillé. Nous vous proposons, grâce à des photos prises par Bernard Girault (Laval) et Claude Guioullier (L'Huisserie), de découvrir les détails des vitraux, difficilement lisibles à l’œil nu.

Athée

Conservatoire du patrimoine, théâtre et lien social. La Noce 1900, à Athée, terreau d'éducation populaire

Athée est une petite commune de 500 habitants, dans le Pays du Craonnais. Chaque année impaire s’y déroule, en août, un spectacle, la Noce 1900, pour lequel des milliers d’habitants de toute la région se déplacent. Il s’agit d’une pièce de théâtre, en patois et en costumes d’époque, évoquant la vie quotidienne des Mayennais en milieu rural dans les années 1900. Cet événement engendre une multitude d’activités associatives, et génère un lien social durable entre ses participants.

Aron

Les désensorceleurs excentriques – hors du système : Robert Brault, "prophète" d'Aron

Dans les années 1960 et jusqu'en 1971, la Mayenne a eu sa "star", en l'occurrence Robert Brault, "prophète" ou "mage" d'Aron, d'abord "guérisseur de bêtes", et qui est devenu "guérisseur de gens puis conjureur de sorts et sorcier... enfin, fondateur de religion".

 

La Bazouge-de-Chémeré et Auvers-le-Hamon

Trois morts rencontrent trois vifs

Un Groupe de recherches sur les peintures murales a recensé, en France, 92 peintures murales figurant la Rencontre des trois morts et des trois vifs. Le thème est apparu dans la peinture murale française vers le milieu du XIIIe siècle et restera en vogue jusqu’au XVIIe siècle. L’image met en scène la rencontre de trois jeunes et riches aristocrates avec trois cadavres. C’est un avertissement lancé aux vivants : « Ces morts les avertissent de la fragilité de la vie et de la vanité de toutes choses et leur recommandent de se convertir »… L’image sert ainsi de support à « une méditation qui, non seulement prépare au passage vers l’au-delà, mais aussi à une réflexion sur la Mort ». Une seule représentation picturale de cette Rencontre des trois morts et des trois vifs est conservée en Mayenne, en l’occurrence à La Bazouge-de-Chémeré (1585). On peut en découvrir une autre dans une église sarthoise toute proche, à Auvers-le-Hamon (premier tiers du XVIe siècle).

 Bonchamp-lès-Laval

La Cassine : des ruines qui conservent leur mystère

La Cassine est un monument mayennais qui suscite bien des interrogations. Il s’agit d’une chapelle ou église romane, aujourd’hui propriété privée, en bordure d’une cour de ferme. Ses ruines sont visibles de la route Laval-Tours, à proximité de Forcé. La Cassine est inscrite à l’Inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1926.

 

Bouchamps-les-Craon

Des "amis du patrimoine" avec de l'énergie à revendre... Un ouvrage sur l'église Saint-Pierre de Bouchamps-lès-Craon

Les églises de toute époque – même a priori banales – constituent un patrimoine digne d’intérêt, mais cela suppose un travail de mise en valeur, respectueux de la dimension cultuelle de l’édifice et animé par la conviction d’une démarche ayant un intérêt culturel et social.

 

Bouère

Urbain Grandier, victime indirecte de la sorcellerie. Le Mayennais le plus célèbre, brûlé vif en 1634...

La Mayenne peut s’enorgueillir d’avoir vu naître un personnage connu à travers le monde entier. On lui a consacré un opéra, un essai (par Aldous Huxley lui-même), plusieurs œuvres théâtrales (notamment un drame dont Alexandre Dumas est coauteur), une œuvre télévisuelle, plusieurs films (dont un réalisé en 1971 par Ken Russell), et bien entendu moult travaux historiques… Urbain Grandier, le curé de Loudun, est né à Bouère vers 1590. Mais comment un personnage aussi célèbre peut-il passer quasiment inaperçu en Mayenne ? C’est qu’aujourd’hui encore Urbain Grandier (vers 1590-1634), accusé de sorcellerie et brûlé vif, fait figure de personnage embarrassant…

 

Urbain Grandier : le Mayennais le plus célèbre, toujours méconnu chez lui

Dans son édition du 31 octobre 2021, Dimanche Ouest-France raconte l’histoire tragique d’Urbain Grandier (vers 1590-1634), ce prêtre originaire de Bouère, curé de Loudun, torturé, condamné pour sorcellerie et brulé vif.

 

Brains-sur-les-Marches

Sophie Lechat-Gatel présente son travail de maîtrise...

Un trésor monétaire du IIIe siècle a été découvert par hasard, en 1991, à Brains-sur-les-Marches. Sophie Lechat-Gatel y a consacré son mémoire de maîtrise en 1996.

 

Changé

Ils sont peintres, sculpteurs ou photographes. Changé, ville d'artistes ?

C’est devenu classique : quelle commune n’a pas son livre relatant son histoire à travers les siècles ? Les Changéens se sont lancés dans un projet différent : un ouvrage assez inattendu mettant en avant les artistes locaux et leurs œuvres.

 

Pays d'art et d'histoire Coëvrons-Mayenne

Partir à la découverte et se laisser conter... Les retables du Pays d'art et d'histoire Coëvrons-Mayenne

Le Pays d’art et d’histoire Coëvrons-Mayenne vient de compléter sa collection « Laissez-vous conter » de trois nouvelles plaquettes, gratuites, qui permettent de découvrir les retables en Coëvrons-Mayenne, l’église de Commer et le théâtre de Mayenne.

 

Contest

L'église de Contest, témoin de l'évolution architecturale

L'église de Contest a pour caractéristiques, d'une part de constituer un support pédagogique idéal pour s'initier à l'architecture religieuse et à l'histoire de l'art, d'autre part de contenir un très riche mobilier.

 

 

Cossé-en-Champagne

Tous les passionnés sont aux anges

On savait depuis longtemps que l'église de Cossé-en-Champagne, dans le canton de Meslay-du-Maine, conservait des peintures murales. Il y a vingt ans, on était bien loin de s'imaginer ce que recouvraient les badigeons...

 

Cossé-le-Vivien

Église et rues sous toutes les coutures : un ouvrage de plus de 200 pages

En 2021, Michel Doreau, enseignant retraité, maire de Cossé-le-Vivien de 1989 à 2001, a publié Cossé-le-Vivien – L’église, ses sculptures réalisées essentiellement par Léon Blusseau et ses vitraux – Les rues au début du XXème siècle (214 pages, 16 euros). Indépendamment de la longueur de son titre, l’ouvrage est surprenant à plus d’un titre.

 

Craon

De pétition en pétition, une population divisée. Les halles de Craon font l'objet d'une rénovation

Dans Halles d'autrefois – Patrimoine d'aujourd'hui (éditions Cheminements, 2008), Jean-Pierre Leclère présente près de deux cents halles conservées à travers toute la France, dont celles, pour la Mayenne, de Craon et de Saint-Denis-d'Anjou. Inscrites à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques, les halles de Craon ont récemment fait l'objet d'un chantier de rénovation. Le temps est révolu où on voulait à tout prix les démolir, comme en 1902 ou en 1924...

Georges Macé : le Craonnais, un "lieu traditionnel de l'éducation populaire"

Le CÉAS de la Mayenne a tenu son Assemblée générale du 2 décembre 1989 à Craon. Elle a porté sur le thème de l’éducation populaire. Georges Macé est intervenu en introduction pour montrer combien le Craonnais est un lieu traditionnel de l’éducation populaire.

 

Entrammes

L'affaire d'Entrammes en complaintes : la chanson mène à tout – même à l'échafaud !

À la fin du XIXe siècle, l'assassinat du curé d'Entrammes, l'inculpation du coupable présumé (l'abbé Bruneau), son procès et son excécution à Laval le 30 août 1894 ont constitué un fait divers très largement médiatisé. L'un des vecteurs de l'époque : les complaintes...

Stéphane Hiland remonte le temps... d'Entrammes à Interamnes

La commune d’Entrammes, avec le concours de la Société d’archéologie et d’histoire de la Mayenne (SAHM) et plus particulièrement celui de Stéphane Hiland, a publié, en juin 2012, En remontant le temps… d’Entrammes à Interamnes (75 pages, en couleurs, 9 euros).

 

Ernée

Chapelle Notre-Dame-de-Charné, à Ernée. Un appel d'offre pour un diagnostic

En 2020, le centre communal d’action sociale d’Ernée a lancé un appel d’offres pour la réalisation d’une mission de diagnostic sur la chapelle Notre-Dame-de-Charné dont il est propriétaire. Située en périphérie de l’agglomération, sur la route de Mayenne, elle fut église paroissiale jusqu’à la fin du XVIIe siècle – alors remplacée par le nouvel édifice construit au centre bourg.

 

La Gravelle

Un château et deux bourgs pour asseoir son autorité...

Samuel Chollet, archéologue à la ville de Laval, nous plonge dans le Moyen Âge pour nous faire découvrir l'histoire étonnante d'une ville créée de toutes pièces par les seigneurs de Laval, en l'occurrence à La Gravelle... là où réside aujourd'hui l'archéologue.

La Gravelle : une vaste ferme gauloise avec des indices d'activité métallurgique

Le 9 février 2013, au musée archéologique de Jublains, Sylvaine Morin, archéologue au Conseil général, a restitué les conclusions du diagnostic archéologique réalisé en 2012 dans la zone d’aménagement concerté (ZAC) de Loiron, à La Gravelle. Nous sommes ici dans le registre de l’archéologie préventive. Au regard des conclusions du diagnostic, est prise ou non la décision d’engager des fouilles archéologiques. À La Gravelle, les découvertes réalisées lors du diagnostic plaident pour l’engagement d’un chantier de fouilles, mais le Conseil général ne pourra en être le maître d’œuvre : son service archéologique n’est pas agréé pour la période concernée.

 

Jublains

La Vierge, l'Enfant et l'oiseau : une exposition à découvrir à la chapelle de Doucé

On connaît tous Jublains pour son musée archéologique et ses vestiges gallo-romains : sa « forteresse », son théâtre, ses thermes, son temple, ainsi que pour le programme de fouilles archéologiques engagé en 2010, initialement pour mettre au jour une domus. Mais Jublains, c’est aussi la chapelle Notre-Dame-de-Doucé, un lieu traditionnel de pèlerinage. Une association – l’Association pour la sauvegarde de la chapelle de Doucé (ASCD) – s’emploie à préserver et à valoriser le site.

Anne Bocquet, la patience de l'archéologue... et des hypothèses plein la tête pour Jublains

Nous proposons ici un compte rendu de la conférence qu'Anne Bocquet, archéologue départementale, a donnée, le 6 novembre 2010, sur les fouilles conduites durant l'été à Jublains.

Vers une mise en valeur d'une partie des vestiges ? Jublains : les fouilles de la domus se poursuivent

Les archéologues du Conseil général, avec une équipe de bénévoles, ont poursuivi, cet été, à Jublains, les fouilles d’une domus. Cette nouvelle campagne de fouilles – la troisième – a été « riche en découvertes », précisent les panneaux d’information qui présentent le site, aujourd’hui bâché jusqu’aux prochaines fouilles archéologiques en 2013.

Laval

Musée d'art naïf : au plus deux euros... et deux heures de plaisir !

Après quelques mois de fermeture pour une rénovation qui s'imposait, le musée d'art naïf à Laval offre depuis 2009 un tout nouveau visage. Les tarifs d'entrée sont extrêmement modiques. Voilà bien deux bonnes raisons pour se rendre très vite au vieux château.

 

La construction en pan de bois au Moyen Âge et à la Renaissance. Laval apporte sa contribution à l'archéologie du bâti

En août 2013, sous la direction de Clément Alix, doctorant à Tours, spécialiste du bâti à Orléans, et Frédéric Épaud, chargé de recherches au CNRS, les Presses universitaires François-Rabelais de Tours et les Presses universitaires de Rennes ont publié un monumental ouvrage : La construction en pan de bois au Moyen Âge et à la Renaissance (449 pages, 35 euros).

 

Trente-deux pages pour se laisser conter la Grande Guerre des Lavallois

Les Villes et Pays d’art et d’histoire développent un véritable savoir-faire dans la médiation culturelle. En d’autres termes, leurs animateurs savent rendre accessibles l’art et l’histoire. Ils disposent d’une collection : « Laissez-vous conter… » et, en 2014, Laval a ainsi sorti une plaquette de trente-deux pages, très pédagogique, très bien illustrée, pour faire connaître aux Lavallois la Première Guerre mondiale et ce que fut, durant cette période, le quotidien de la population locale.

Mayenne

Treize ans de reconstruction après les bombardements de 1944. La basilique Notre-Dame-des-Miracles, à Mayenne

Les Journées européennes du patrimoine sont toujours l’occasion de découvertes inattendues – même dans les monuments les plus connus dans le département. Le 16 septembre 2017, le Pays d’art et d’histoire Coëvrons-Mayenne l’a encore démontré lors de la visite guidée de la basilique Notre-Dame-des-Miracles, à Mayenne.

Moulay

Nos ancêtres les Gaulois étaient des Diablintes et Moulay était leur capitale...

Dans Les peuples gaulois (IIIe – Ier siècle av. J.-C.), publié en 2012 aux éditions Errance, l’auteur, Stephan Fichtl, professeur d’archéologie à l’université François-Rabelais de Tours, tente « d’analyser la réalité de la civitas gauloise telle que César la découvre en arrivant en Gaule en 58 av. J.-C. ». Dans sa conclusion, Stéphan Fichtl avance plusieurs idées fortes.

Neau

Messages codés pour méditer et/ou initier... Neau et sa BD de saint Vigor

L'église de Neau contient un ensemble de peintures murales particulièrement bien conservées et tout à fait intéressantes, notamment un cycle qui raconte toute l'histoire de saint Vigor, évêque de Bayeux (VIe siècle). Partons à leur découverte avec Marjorie Péraud, guide-conférencière au Pays d'art et d'histoire Coëvrons-Mayenne.

 

 

Parné-sur-Roc

Église Saint-Pierre : mise en valeur de nouvelles peintures murales

C'est un rendez-vous annuel : à Parné-sur-Roc, à l'occasion de la manifestation des "peintres dans la rue", Jacques Naveau, ancien directeur départemental du patrimoine au Conseil général, mais aussi habitant de la commune, assure une visite guidée de l'église.

Pontmain

Pontmain : l'une des 14 apparitions reconnues par l'Église

En deux millénaires, l’Église a officiellement reconnu quatorze apparitions de la Vierge Marie. Pourtant, l’abbé René Laurentin et son collaborateur Patrick Sbalchiero, qui ont publié un Dictionnaire des « apparitions » de la Vierge Marie (Fayard, 1 426 pages), en ont recensé quelque 2 400…

Saint-Martin-de-Connée

"Visite estivale" à Saint-Martin-de-Connée. Un décor religieux très varié, très riche

Dimanche 4 mai 2008 à Saint-Martin-de-Connée : les Coëvrons-Mayenne, pays d’art et d’histoire labellisé par le ministère de la Culture et de la Communication, propose une visite de l’église Saint-Martin… pour sept visiteurs. Un peu dommage car la guide présente un commentaire adapté à son auditoire ; le tarif reste accessible (3,50 euros) et, surtout, l’église, toute éclairée, est très belle avec sa voûte en vaisseau renversé et ses murs blancs sur lesquels ressortent « de nombreux trésors », formant un décor religieux important, très varié, très riche.

Saint-Martin-du-Limet

Difficile de susciter l'intérêt pour les peinture du XIXe siècle. Saint-Martin-du-Limet : un décor du sol au plafond

À Saint-Martin-du-Limet, entre Craon et Renazé, l’église est inscrite à l’Inventaire supplémentaire des Monuments historiques depuis 1992. Il lui fallait cette « protection » pour faire prendre conscience de l’intérêt de ses peintures murales. Il reste encore à convaincre… ne serait-ce que pour laisser accessible l’église elle-même, malheureusement souvent fermée, sans qu’on sache les éventuels jours et heures d’ouverture ou à qui s’adresser pour emprunter la clé.

 

Sainte-Suzanne-et-Chammes

Un "chapelet" de moulins sur la rivière de l'Erve. À Sainte-Suzanne, on a fabriqué des jeux de cartes

On connaît tous le château de Sainte-Suzanne, mais sait-on qu’autrefois, sur les deux kilomètres de la rivière de l’Erve qui traverse la commune, il y a eu pas moins de vingt-deux moulins à eau ! Un point de repère ? D’habitude, sur une rivière, c’est plutôt un moulin tous les kilomètres. Alors comment cela a-t-il été possible à Sainte-Suzanne ?

 

Saulges / Thorigné-en-Charnie

 Un site paléolithique majeur à Thorigné. "Saulges" sort de sa réserve

Faut-il rappeler qu’en 1967, dans la grotte Mayenne-Sciences, à Thorigné-en-Charnie, on a découvert des peintures pariétales qui ont quelque 25 000 ans ? Mais pendant trente ans, aucune recherche archéologique n’a été lancée dans le site de la vallée de l’Erve car il était réputé scientifiquement perdu à cause des fouilles autrefois réalisées. Pourtant, depuis 1998, date du lancement d’un programme de recherche sur les « occupations paléolithiques de la vallée de l’Erve », des découvertes assez extraordinaires ont eu lieu dans la grotte Rochefort, à Saint-Pierre-sur-Erve, et dans la grotte Margot, à Thorigné-en-Charnie.

Des découvertes inattendues à "Saulges". Un site international ? Les chercheurs y croient

Le samedi 15 décembre 2007, à l’occasion d’une conférence, la Société d’archéologie et d’histoire de la Mayenne (SAHM) a accueilli Stéphan Hinguant, qui dirige les fouilles en cours dans la vallée de l’Erve, et Romain Pigeaud, qui étudie l’art rupestre dans la grotte Margot. Les « grottes de Saulges » constituent un site préhistorique clé pour le Nord de la France. Leur intérêt est au moins régional, mais plutôt national, voire international. De retour d’un colloque où il a présenté ses résultats, Stéphan Hinguant confie que ses collègues ont été « subjugués », d’autant plus que les découvertes sont « complètement inattendues ».

Grotte Margot (Thorigné-en-Charnie). Une "importance majeure" dans l'art paléolithique

Moins médiatisées qu’il y a quelques années, les recherches se poursuivent dans la grotte Margot, à Thorigné-en-Charnie, sous la direction du préhistorien Romain Pigeaud. Pour en savoir plus sur la campagne 2012, il faut lire L’actualité du Pays d’art et d’histoire Coëvrons-Mayenne (n° 26 de décembre 2012, huit pages) : Romain Pigeaud pour la grotte Margot et Anne Bocquet pour la domus de Jublains y présentent « les découvertes archéologiques de l’été ».

Rochefort, site solutréen : ses bouquetins et points d'interrogation

Parmi les « grottes de Saulges », deux sont ouvertes au public (celles de Margot et Rochefort) ; deux sont ornées (Mayenne-Sciences et à nouveau Rochefort).

 

Vaiges

Surprenant monument funéraire : hommage littéraire et architectural à un jeune

Le 20 septembre 2008, dans le cadre des Journées du patrimoine, Christian Davy et Nicolas Foisneau, tous les deux chercheurs à l'Inventaire, mais respectivement au Conseil régional et au Conseil général, ont proposé une visite guidée du monument funéraire de la famille Robert-Glétron, situé à Vaiges.